disciplinés les uns que les autres. Il fallait que l’on dît combien est étranger à la véritable culture cet entassement de connaissances hétéroclites dans des cervelles non préparées, combien est contraire à la moralisation l’anarchique exaltation du sens propre et de l’orgueil sur quoi se fondent les Universités populaires. Et lorsque c’est un des plus dignes « chefs intellectuels » de ce temps, un des esprits directeurs de la pensée contemporaine, et le penseur qui représente dans toute son ampleur l’idée conservatrice et traditionnelle qui exprime cette condamnation des erreurs démocratiques, il lui donne une singulière autorité. Il faut attendre de l’Étape de grands bienfaits. Une telle œuvre est faite pour regagner les intelligences à la cause de l’ordre français.
…Ah ! vieille Revue de Buloz ! Porte-voix des Quinet, des Tocqueville et des Heine ! Vous avez longtemps répandu, dans leurs meilleures compa-