Aller au contenu

Page:Baissac - Le Folk-lore de l’Île-Maurice, 1888.djvu/244

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pied qui m’envoie ici vous raconter cette histoire.[1]


  1. Ici tout est nôtre : Lindor fecit. Aucun autre conte n’a une saveur de terroir plus prononcée. Seulement le lecteur devra pardonner au vieux conteur un peu de crudité en constatant qu’on peut être noir et Gaulois. S’il nous fallait, dans notre recueil, désigner entre tous un conte qui suffit à donner une