ment comiques. Mais comme il n’avait mis personne dans la confidence, il a pu mener une vie régulière et tranquille jusque vers la fin de l’année 1880.
Il était, nous l’avons déjà dit, professeur dans une institution privée ; et on l’avait chargé de conduire les élèves en omnibus à la pension.
Dans une de ses promenades il rencontre son idéal en la personne d’une jeune fille habitant le quartier, il aperçoit une forêt de cheveux au-dessous desquels se dessinent des yeux immenses.
À partir de ce moment son destin est fixé, il est décidé dans son esprit qu’il épousera la belle inconnue ; il s’assure de son domicile et sans plus d’ambages il monte chez elle et se fait annoncer. Il est reçu par la mère à laquelle il demande catégoriquement la main de sa fille. On le