Page:Ballanche - Vision d’Hébal.djvu/19

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Pythagore, il voyait une noble sirène jouant de la lyre à l’extrémité de chaque cercle des sphères célestes, et la cadence majestueuse de la sphère se mariait à la cadence de toutes les autres, et les sept notes fondamentales des nombres produisaient un concert sans fin, une danse éternelle.

Ainsi toutes les visions d’Hébal vont se résumer dans une seule vision ; et il ne sent plus la volonté de résister à la mort.