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JOSÉ.
Craint-il qu’on ne lui vole son vieux corps ?
GARCIAS.
Ou espère-t-il, quand viendra le jour du jugement, que l’ange de la résurrection n’aura pas la pioche assez longue et le bras assez fort pour l’atteindre ?
JOSÉ.
C’est peut-être son idée… peut-être qu’il a raison.
GARCIAS.
Pauvre niais ! tu crois que l’ange de la résurrection est fossoyeur.
JOSÉ.
Je penserai à cela… ou je le demanderai au curé.
GARCIAS.
Creuse, creuse, José ; tu n’es bon qu’à ton métier. Creuse, tu ne trouveras pas le bon sens que tu as perdu.
JOSÉ.
Du bon sens, maître ! mais dites donc, en