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Page:Balzac - Œuvres complètes, éd. Houssiaux, 1855, tome 18.djvu/601

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madame Foullepointe m’a conseillé de le voir, il ne m’a dit que des sottises !… et je sais mieux que lui ce qu’il me faut…

— Que te faut-il ?…

— Ingrat, tu le demandes ? dit-elle en posant sa tête sur l’épaule d’Adolphe.

Adolphe, effrayé, se dit : ─ Il a raison, le docteur, elle peut devenir d’une exigence maladive, et que deviendrai-je, moi ?… Me voilà forcé d’opter entre la folie physique de Caroline ou quelque petit cousin.

Caroline chante alors une mélodie de Schubert avec l’exaltation d’une hypocondriaque.