Ce n’est que ça, je sais ce que c’est, fais-le attendre. Tout le monde sous les armes ! Allons, plus de Vautrin, je vais me dessiner en baron de Vieux-Chêne. Ainzi barle l’y ton hallemant, travaille-le, enfin le grand jeu !
Scène VI.
Meinherr ti Vraissegasse n’y être basse, menne sire, hai zon haindandante, le paron de Fieil-Chêne, il être oguipai afecque ein hargidecde ki toite pattir eine crante odelle à nodre maidre.
Pardon, mon cher, vous dites ?…
Ché tis paron de Fié-Chêne.
Baron !
Fi ! fi !
Il est baron ?
Te Fieille-Chêne.
Vous êtes Allemand ?
Ti doute ! ti doute ! chez sis Halzazien, et il èdre ein crante tifferance. Lé Hâllemands d’Allemagne tisent ein follére, les Halzaziens tisent haine follèrre.
Décidément, cet homme a l’accent trop allemand pour ne pas être un Parisien.
Je connais cet homme-là. — Oh !
Si M. le baron de Vieux-Chêne est occupé, j’attendrai.
Ah ! Blondet, mon mignon, tu déguises ta figure et tu ne dé-