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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/262

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conduite ne soit dictée par une grande prudence, et, à votre place, je ne dis pas que je n’en ferais point tout autant.

— Sans rancune au moins, Maxime, dit le ministre à M. de Trailles, qui le salua avec froideur et dignité.

Quand les deux conspirateurs furent seuls dans l’antichambre :

— Comprenez-vous cette pruderie ? dit Maxime.