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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/105

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l’air d’être venus pour acheter un piano. J’ai dit, toujours pour la vraisemblance, que la jeune personne pourrait s’épouvanter de la solennité d’une audition, et que de cette manière nous serions plus sûrs de la voir avec tous ses moyens !

— Mais dis donc, mon gros, fit Jacqueline, cent mille écus, c’est de l’argent !

— La somme, répondit négligemment Vautrin, qui m’est revenue de la succession de ce pauvre Lucien de Rubempré : D’ailleurs, j’ai étudié l’affaire. Mis en fonds, sir Francis Drake peut faire une très bonne saison ; j’ai Théodore Calvi, mon secrétaire (Voir la dernière incarna-