Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/110

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

reprit le prétendu comte Halphertius, je l’attends pour plus d’une heure qu’elle m’avait donné rendez-vous. C’est une petite folle, et je la crois au théâtre dont le nègre m’a dit que son neveu lui a envoyé tantôt un billet.

— À quelque heure qu’elle rentre, il faut que je lui parle, dit le nouvel arrivé en prenant un fauteuil et en s’y installant.

— Moi je n’attends pas pour plus longtemps, repartit Vautrin.

Et après avoir salué il se disposait à sortir.