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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/115

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— Vous croyez, vous, que les choses se jettent en moule, et que les Italiennes, c’est de l’amadou comme vos lorettes de Paris ; avec ça que vous êtes si donnant !

— Comment ! voilà plus de trois billets de mille francs que vous avez déjà tirés de moi en faux frais !

— La belle poussée ! et l’engagement que vous vous étiez chargé de négocier ?

— Est-ce que je puis faire jouer le Théâtre-Italien exprès pour cette péron-