Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/143

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

deur extrême, tous les rôles de la Malibran et de la Pasta.

— Et la nuit, demanda câlinement Vautrin, ne vous portera pas de mauvais conseils ?

— Voilà ma main, dit l’Italienne avec un naïf abandon ; je ne sais si en France on arrête ainsi les marchés.

— Ah ! diva ! diva ! s’écria Vautrin avec les plus burlesques intonations de dilettante, et il effleura de ses lèvres la belle main qui lui était présentée.

Quand on se rappelle le terrible passé de