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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/155

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demandé, elle avait fini par lui surprêter une autre somme, et dénouement non moins merveilleux, cette somme, il l’avait rendue.

De là entre l’artiste et l’agente matrimoniale une certaine suite de rapports bienveillants. Sans imaginer la terrible compagnone à laquelle il se frottait, Bixiou, parce qu’il la faisait rire et que, de temps à autre, dans des jours de désespoir, il parvenait à l’attendrir de quelques napoléons, se tenait pour un homme habile, mais il ne savait pas qu’il était le chien de la ménagerie dans la loge du lion, et que cette femme, sous le passé de laquelle il y avait de la