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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/177

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Saint-Estève à Vautrin : j’ai cru voir la fille à Peyrade.

Allusion à une épouvantable histoire accessoire à celle du banquier Nucingen, et dans laquelle cette terrible jouteuse avait joué le principal rôle ; et elle avait rendu folle une malheureuse créature, en la faisant, par une atroce vengeance, conduire dans un lieu de prostitution. (Voir Splendeur et Misère des courtisanes.)

Ce qui compléta le succès de la Luigia et lui devint, auprès de ses juges, une singulière recommandation, ce fut sa modestie et une sorte d’ignorance où elle