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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/187

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neuf cent quinze malades peuvent y être reçus et traités.

Étant reconnu que le travail est un des plus précieux adminicules du traitement médical, la maison contient des ateliers de menuisiers, de serruriers, de peintres, de vitriers, de faiseurs de brosses, de charbonniers ; on y fabrique aussi du fil, des souliers, de la vannerie, des chapeaux de paille, des paniers à fraises et toute espèce d’ouvrages de femmes.

Les plus délicats objets de cette fabrication sont vendus aux visiteurs dans un bazar où ils sont exposés, et qui est d’un beau revenu pour l’asile.