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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/206

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viens de voir notre malade, et l’irritation cérébrale qui, de nécessité, doit avoir cédé à l’action matérielle des remèdes avant que l’on puisse penser à l’intervention d’aucun moyen moral, me paraît malheureusement en voie d’une exacerbation nouvelle.

— Mais, dit vivement Sallenauve, vous ne perdez pas, docteur, tout espoir de guérison ?

— Loin de là, j’ai une foi absolue dans une heureuse terminaison, mais ces cruelles affections présentent ainsi de fréquentes alternatives de bien et de mal, et en somme, je commence à entre-