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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/210

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peine à obtenir qu’on se mît en route sans plus de délai.

Arrivés à Londres, vers cinq heures de l’après-midi, les voyageurs en seraient partis dans la soirée, sans la surprise qui les attendait.

D’abord, leur œil fut frappé d’affiches gigantesques comme le puffisme anglais sait seul les faire, annonçant à tous les coins de rues, pour le soir même, le second début de la Signora Luigia au Théâtre de Sa Majesté.

Le nom seul était fait pour attirer l’attention des voyageurs, mais les journaux,