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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/24

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— Moi, j’en ai ma suffisance, ajouta une des matrones.

— Et moi, dit l’autre, que les médecins m’ont mise au lait, rapport à ma gastripe.

— Vous êtes tous des poules mouillées, dit la Saint-Estève. Allons, emporte tout ça, ajouta-t-elle en s’adressant au nègre, et surtout que je te prenne à écouter à la porte ; tu te souviens de la raclée !

— Oh ! m’en souviens bien, dit le nè-