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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/242

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crétion et vous demande avec instance le secret le plus absolu.

— Et rien dans la durée de cette situation ne vous paraît invraisemblable ? Mais cet homme, que vous espérez toujours nourrir de fumée, où, comment l’avez-vous connu ?

— Par une dame de charité qui me vint voir pendant votre absence. Elle avait remarqué ma voix à Saint-Sulpice, pendant les exercices du mois de Marie, et elle aurait voulu me débaucher pour chanter à Notre-Dame-de-Lorette, sa paroisse.