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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/34

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m’entraîner. Du reste, mes chères dames, vous ferez de mes avis tel usage que vous voudrez. Maintenant, si mal vous arrive, vous ne vous plaindrez point qu’on ne vous ait pas adressé les trois sommations. Quant à toi, petite tante, ce que j’ai à te dire est confidentiel.

Ainsi congédiées, les deux matrones parlèrent de se retirer.

— Voulez-vous qu’on aille vous chercher une citadine ? demanda madame de Saint-Estève à madame Fontaine.

— Non pas, vraiment, répondit la de-