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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/46

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contente de faire rentrer l’argent dépensé, avec quelques mille francs de bénéfice, à moins, toutefois, que, dans le cours de la construction, la spéculation ne vienne à se compliquer d’une de ces faillites qui, dans l’industrie du bâtiment, sont une des péripéties les plus courantes et les plus prévues.

Des lorettes, des agents d’affaires, des compagnies d’assurance mortes-nées, des journaux destinés à périr à la fleur de l’âge, des administrations de chemins de fer impossibles, des comptoirs d’escompte où l’on emprunte au lieu de prêter ; des offices de publicité arrivant à peine pour eux-mêmes à la publicité