Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/48

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Entrée en possession de son appartement avant cette période de décadence, madame de Saint-Estève s’était donc, à très bon marché, procuré une installation confortable, et de beaux résultats, sans parler du bénéfice d’autres affaires occultes, n’avaient pas tardé à couronner les efforts de son habile administration.

Presque inutile de dire que, trouvant au-dessous d’elle et laissant à ses concurrentes le charlatanisme des annonces, madame de Saint-Estève ne faisait jamais parler de son cabinet à la quatrième page des journaux. Ce dédain, qui, attendu les sombres obscurités de