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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/67

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— Ah çà ! tu vas aussi prendre une agence dramatique ! tu n’as pas assez de tes mariages ?

— Voilà, mon chat, en deux mots la chose. C’est une Italienne, belle comme le jour, venue de Rome à Paris avec un imbécile de sculpteur dont elle est folle sans qu’il s’en doute ; et ce Joseph en éprouve si peu pour elle que, l’ayant eue sous les yeux, posant pour une de ses statues, il est encore à lui adresser une galanterie.

— C’est un homme qui doit aller loin dans son art, remarqua Jacques Collin,