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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/144

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en sentinelle à la porte, pour le cas assez probable où le fou aurait l’idée de l’ouvrir quand il cesserait de se croire assiégé.

» Arrivé auprès de la mère, qu’on avait à grand’peine fait revenir d’un profond évanouissement, le docteur l’interrogea, et apprenant les raisons que le malade avait de mal vivre avec elle, il lui reprocha vivement d’être venue à l’Asile, et surtout de ne l’avoir point avisé des fâcheux antécédents qui avaient amené la terrible scène dont personne ne pouvait prévoir la fin.

» Prenant dans la chambre de sa