Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/183

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

d’une décision qui me paraissent vraiment bonnes à utiliser.

— Nous en parlerons, dit le ministre. Il faut une circonstance pour venir en aide à ma bonne volonté ; d’ici au mois de septembre, époque où notre virtuose sera libre de son engagement de Londres, j’aurai peut-être trouvé un moyen de tout arranger. Je n’oublie pas, mon cher colonel, que vous êtes condamné à ménager cet homme, et, en réalité, il confirme sa vocation par des allures qui me disposent bien pour lui.

Dans le temps où avait lieu au ministère des travaux publics cette conversa-