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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/262

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viendriez chez moi me faire des leçons.

— Des leçons, répondit M. de Trailles, je n’ai en aucune façon l’intention de vous en adresser ; mais si quelque danger vous menaçait, vous ou les vôtres, vous ne me sauriez pas, je pense, mauvais gré de vous en aviser.

— Enfin, monsieur, dit madame Mollot d’un ton grimpé, je vous écoute.

— J’ai reçu tout à l’heure, reprit Maxime avec une sublime hypocrisie, quelque chose d’extrêmement compromettant pour une personne à laquelle prochainement je dois me trouver lié par le lien de la parenté la plus étroite.