Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/52

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tre la dupe d’une bourde spirituellement improvisée. Après avoir rejoint les dames dont il était le cavalier, il sortit avec elles de la salle, ne laissant pas toutefois d’être sourdement travaillé d’une certaine inquiétude jusqu’au moment où il eut dépassé la grille qui ouvre en face du pont de la Concorde. Là, il jeta autour de lui un regard furtif, et, comme rien de menaçant ne lui apparut, il respira.

S’apercevant que quelques indiscrets restaient encore à portée de l’entendre :

— Messieurs, fit Rastignac avec hau-