Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/87

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plus entière confiance. Vous serait-il désagréable qu’il assistât à la lecture ? Je me trouverais vraiment inquiet de la rédaction à laquelle je me serais arrêté, si après que j’en aurai pris avec vous l’engagement, M. Bricheteau venait à ne pas tomber tout à fait dans notre sentiment.

Les de Camps regardèrent la comtesse comme pour la consulter.

— Mais, oui, dit madame de l’Estorade, je ne vois aucun inconvénient à m’expliquer devant M. Bricheteau, au contraire ; j’ai des excuses à lui adresser.