Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/90

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pas l’honneur d’être son ami. Il ajoute que, dans tous les cas, au moment où j’entendais me réclamer de lui, j’étais sous le coup d’une de ces accusations déplorables devant lesquelles les amitiés les plus anciennes doivent se voiler la tête et s’effacer.

» À M. le comte Maxime de Trailles, j’ai répondu qu’ayant avancé à la tribune des faits publiquement vrais et que lui-même ne contestait pas, je croirais manquer à tous mes devoirs de député, si je l’autorisais à me demander compte de paroles prononcées dans l’enceinte parlementaire et à les placer sous le contrôle d’une espèce de censure armée.

» À M. le comte de l’Estorade, j’ai