Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/92

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Quand Sallenauve eut achevé de lire, il se fit un moment de silence.

— Cette lettre, finit par dire M. de Camps, me paraît parfaitement convenable, je n’y vois pas un mot à changer.

Hum ! dit Jacques Bricheteau, il faut convenir que M. le comte s’en tirerait à bon marché.

— Comment ! monsieur, dit à son tour madame de l’Estorade, cette assimilation à M. Maxime de Trailles, cette allusion si cruellement discrète à un service dont en effet, mon mari a trop perdu la mé-