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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/101

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ment en patience jusqu’au moment où quelque chose d’un peu moins vague se dessinerait à leur horizon.

Un soir que tous deux ensemble brûlaient leur encens devant l’autel, on peut se figurer leur curiosité en entendant annoncer le comte Halphertius.

Aussitôt le marquis reconnut l’original qu’il avait rencontré chez la Saint-Estève, et cette découverte n’était pas faite pour lui rendre sa rivalité moins odieuse.

Comme s’il eût voulu constater ses droits :

— Ma chère belle, dit Vautrin d’un