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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/13

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Dès longtemps au fait du mariage près de s’accomplir, Franchessini fut pris par M. de Trailles pour le confident de ses embarras, ce qui était une invitation à en devenir le consolateur et le banquier.

Le colonel savait à fond son Maxime, et il ne se souciait pas d’entrer avec lui en affaires. Il allégua les courses de Chantilly, où il avait parié malheureusement, et dans son impuissance ainsi expliquée d’aider personnellement l’ami qui venait faire appel à sa bourse, il l’adressa à la Saint-Éstève.

Par l’intermédiaire de Vautrin, Fran-