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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/150

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— Oh ! oui, dit la Luigia avec des larmes dans la voix, il m’a fait bien souffrir, mais c’est égal, je l’aime !

— Voyons, Luigia, vous allez vous rendre les yeux rouges maintenant ?

— Non, je ne pleurerai pas, d’ailleurs j’espère toujours un peu, car si Dieu veut que je sois à lui, malgré lui, malgré vous, ce qui doit être sera.

— Vous feriez bien mieux de penser à votre point d’orgue que vous avez manqué ce matin en répétant.