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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/188

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— Comme mon futur gendre, alors ? dit Beauvisage ; il paraît qu’il en a eu de ces comtesses et de ces marquises ?

— Oh ! pas toujours, répondit Crevel ; il n’y a pas longtemps, il cultivait une demoiselle Antonia Chocardelle qu’il avait fort bel et bien colloquée dans un cabinet de lecture.

— Mademoiselle Antonia ? dit vivement Beauvisage, je la connais.

— Comment ! monsieur le libertin ! à peine débarqué à Paris, nous aurions déjà des intrigues ?