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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/191

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train, à preuve Josépha et mon ami Hulot, qui m’a rendu le service de m’en priver au bon moment. Mais quand, comme toi et moi, on paie encore de sa personne, en s’adressant à quelque chose de gentil, qui ne soit pas encore trop lancé, mon dieu, avec une robe par-ci, par-là, deux ou trois termes de loyer qu’on solde, un peu de mobilier d’occasion, on peut s’en tirer à très bon compte. Il n’y a que ces imbéciles de jeunes gens qui se ruinent, parce que le fonds de roulement leur manque, et qu’ils sont obligés de passer par les mains des usuriers.

— Est-elle toujours avec ce journaliste, cette belle demoiselle Antonia ?