Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/197

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

blir la petite, et avec la fortune qu’elle a, je n’étais pas fâché qu’elle se mariât dans la noblesse. Mon gendre, qui ne l’est pas tout à fait encore, est venu à se présenter…

— Ah ça ! tu sais qu’il se teint, ton gendre.

— On a fait courir ce bruit-là à Arcis : on est si méchant dans ces petites villes !

— Oh ! mais moi, je te le garantis ; c’est mon successeur qui lui fait une eau