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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/240

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le moment il s’agit d’achever et de perfectionner l’éducation de cette chère enfant, et madame de l’Estorade a fait, il y a quelque temps, une bien grosse bévue.

— Comment cela ?

— Lors de notre froid avec M. de Sallenauve, vous aviez eu la bonté de nous offrir de mettre à notre disposition votre immense talent musical qui a été hier si apprécié au concert de M. le ministre des travaux publics. Craignant de me déplaire, si elle acceptait, madame de