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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/264

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— Maintenant, dit-il, j’appellerai votre attention sur deux dépenses qui, dans ma pensée, sont des dettes d’honneur, mais cependant je ne me serais pas permis de les acquitter sans vôtre approbation.

— Vous avez tort, répondit Sallenauve, vous êtes parfaitement bon juge en cette matière ; je m’en rapporte complètement à vous.

— À l’époque, reprit Bricheteau, où j’avais perdu la trace de M. votre père, je ne me trouvai pas toujours en mesure de pourvoir avec une parfaite aisance à