Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/29

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

un certain point, autorisait entre elles et la diva une idée lointaine de confraternité ; elles crurent donc pouvoir se laisser aller sur son compte à quelques curiosités plus ou moins discrètes.

— Je crois, répondit sèchement le comte Halphertius, que nous ferons bien, mesdames, pour ne pas parler ici de la signora Luigia, ce n’est pas la même religion, et les Italiennes ne sont pas si gaies dans l’amour que vous me paraissez prendre la question.

— Mais, au moins, dites-nous, cher comte, demanda insolemment Malaga, si elle en est toujours de la vôtre, de re-