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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/304

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vous pas que nous ferions sagement de nous assurer des sentiments vrais et actuels de mademoiselle Marianina ? Mieux que personne, à ce qu’il me semble, je serais en mesure de sonder les secrets de son cœur, et si vous ne voyez pas d’inconvénient à un entretien particulier, que vous me permettriez d’avoir avec elle ?…

— Pour mon compte, répondit M. de Lanty, je donne volontiers les mains à cette combinaison, en tant, toutefois, qu’elle aura l’approbation de madame la supérieure.

— Je vais vous envoyer Marianina, dit l’abbesse à Sallenauve, en donnant ainsi son acquiescement. Quant à vous,