Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/76

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» Celui que nous accompagnons à sa dernière demeure est un de ces hommes, et c’est pour cela qu’on me voit assistant à ses funérailles, où mon absence eût été moins commentée peut-être que ne le sera ma présence.

» Admis, messieurs, à l’honneur de vous représenter, j’ai pensé que je ne devais rester étranger à aucune de vos douleurs, comme à aucune de vos joies. L’homme de bien que vous regrettez, je me suis senti le droit en même temps que le devoir de venir le pleurer avec vous.

» Ce triste devoir, j’y étais d’ailleurs