Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/129

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— Habitué que je suis, continua M. de Chargebœuf, de l’établissement qui s’honore, j’ose me le persuader, de posséder un pensionnaire tel que moi, je ne laisse pas aussi d’y jouir d’une certaine considération, et, pour contenter la curiosité de madame Beauvisage, interrogeant le garçon qui a l’habitude de me servir, et qui est depuis fort longtemps dans la maison, je lui demandai quelques renseignements relativement à l’homme que nous venions de voir entrer.

« M. Larchevêque ? répondit le garçon, ma foi ! je ne le connais que pour venir ici une fois par an commander un repas de corps.