Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/133

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obligée de me séparer de lui à cause des mauvais traitements dont il m’accablait. »

— C’est merveilleux de présence d’esprit ! s’écria Maxime.

— Aussitôt, continua M. de Chargebœuf, le garçon de prendre parti pour la femme innocente et persécutée, et de se montrer très disposé à entrer dans ses peines ; pour vous le faire de court, moyennant deux napoléons et la promesse que nous ne ferions aucun bruit, il se décida à nous introduire dans le cabinet, d’où l’on pouvait avoir l’oreille à ce qui se passait chez mons Bricheteau ;