Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/263

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— Diable ! mon cher, lui dit de son côté M. de l’Estorade, j’avais tort de vous nier un avenir politique ; je crois que vous faites encore mieux les discours que les statues.

M. de Lanty, accompagnant madame d’Espard s’approcha de lui à son tour, en lui disant tout bas :

— Je crois, si Marianina vous eût entendu tout à l’heure, que sa vocation serait bien aventurée.

Le soir, en arrivant à l’Opéra-Comique, madame Matifat dit tout bas à madame Tancrède, en lui donnant le ger :