Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/285

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détraqué ce matin et nous en verrons bien d’autres.

— Alors, provisoirement, vous restez ?

— Oui, pour expédier les affaires ; et c’est de ce reste de pouvoir que je veux me servir, mon cher Maxime, pour vous arranger une position.

— Je reconnais là le procédé d’un vieil ami.

— Vous rappelez-vous, mon cher, qu’au mois de mars dernier vous me disiez : « Après mon mariage, nommez-