Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/78

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les hommes considérables de tous les partis et ceux du vôtre en particulier ; votre absence, ce qui est une grande flatterie pour votre importance, y a été beaucoup remarquée ; mais ce qui n’est pas également agréable, elle vous vaut ce matin deux ou trois attaques extrêmement vives, dans les journaux de différentes couleurs.

— Ah ! je suis semoncé ! dit négligemment Sallenauve.

— Mais d’assez rude façon et notamment dans le National, où vous avez, je crois, des amis et des intérêts. Vous ne lisez donc rien ? La villégiature pourtant