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Page:Balzac - Pensées, sujets, fragments, éd. Crépet, 1910.djvu/138

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pensées, sujets, fragmens

Te voilà un homme, mon enfant, ta vie ne vaut pas ma passion.

Sujet. Histoire de la succession du marquis de Carabas dans le fief de Coquatrix. — Sa mort. — Son testament. Ce qu’était devenu le chat. Les trente héritiers, etc. Faire tenir la Convention des morts dans le marquis de Carabas[1].

M. Coudreux à l’enterrement de saint Sébastien parlant de ses poinçons et de sa douleur. Y mettre le morceau de la Danse des pierres. Il meurt avec la réputation d’un homme pieux, et le père Coudreux fait son éloge, — un bien doux jeune homme, depuis la mort de sa femme il n’est pas sorti de chez lui[2].

Tu me verses à boire comme si j’avais monté ton bois[3].

La 2e édition de la Peau de chagrin[4] pourrait prendre

  1. Cette histoire devait former 2 volumes in-8° qu’aurait illustrés Tony Johannot. — La Convention des morts, un des sous-titres de la Comédie du Diable à l’origine.
  2. La danse des pierres, v. Jésus-Christ en Flandre.
  3. La maison Nucingen (1837) VIII, 628 : « Allons, voilà Finot qui me verse à boire comme si j’avais monté son bois. »
  4. La deuxième édition de la Peau de chagrin parut effectivement