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Page:Balzac - Pensées, sujets, fragments, éd. Crépet, 1910.djvu/197

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pensées, sujets, fragmens

par mon système. Démontrer l’économie à introduire. D’où il résulterait une économie productive[1].

Seguin à la Poudrerie. — Jules Sandeau. — Parisot. — Paul à Paris. — Les deux Nettement. — De Belloy. — Chauvet. — Buloz. — J. David. — Maynard. — Barchon[2].

Mettre la scène à Venise. — Un Figaro vénitien.

Le vieillard amoureux surprend sa femme, la fait condamner, veut la reprendre, histoire véritable, lui

  1. Ces idées ont été développées dans le projet de Rabourdin (Les Employés, 1836).
  2. Sans doute s’agit-il là d’un service d’auteur. — Séguin, un ami de M. et Mme Carraud. — Sandeau avait vécu rue Cassini avec Balzac après sa rupture avec George Sand. Balzac à maintes reprises, dans ses Lettres à l’Etrangère, se plaint de la paresse de son ami, des charges qu’il lui a imposées, des dettes qu’il lui a laissées. — Probablement Jacques-Théodore Parisot, qui traduisit notamment plusieurs romans de Walter Scott. — Paul à Paris ?Alfred Nettement, un des seuls critiques de l’heure qui rendirent justice à Balzac, et son frère Francis, ancien secrétaire particulier du prince de Polignac. — Le comte de Belloy, que Balzac eut pour secrétaire, en même temps que le comte Ferdinand de Gramont, en 1835. — Chauvet. Un imprimeur lithographe, établi rue Vivienne prolongée, 17, est mentionné sous ce nom dans l’Annuaire du Commerce de 1835. — Probablement J. Amyntas David, qui avait fait recevoir Une ténébreuse Affaire au Commerce. — Louis Magnard de Queilhe sans doute, auteur d’un roman intitulé Outre-Mer. — Il faut lire, j’imagine, Barchou de Penhoen, littérateur qui devint représentant du peuple vers 1849-50.