45. Le juge à la torture.
46. Monsieur le procureur général.
48. Tout ce que font les femmes à Paris.
49. Tout ce que peuvent les femmes à Paris.
51. Où le dandy et le poëte se retrouvent.
52. Difficulté du suicide en prison.
54. Un drame dans la vie d’une femme à la mode.
Dans l’édition définitive, outre les chapitres, l’auteur a encore
enlevé la date.
La quatrième et dernière partie, la Dernière Incarnation de Vautrin, portant d’emblée ce titre, parut pour la première fois dans la Presse (qui l’avait achetée au journal défunt l’Époque), du 13 avril au 4 mai 1847. (C’est donc décembre 1846 qu’il faut lire à la date au lieu de 1847, date doublement fautive, puisqu’elle est donnée dans cette édition comme celle de tout l’ouvrage, tandis qu’elle est même inexacte au bas de la dernière partie seule.) Elle y était divisée ainsi :
1re partie :
Les Mystères du préau.
3. Le préau de la conciergerie.
4. Essai philosophique, linguistique et littéraire sur l’argot, les filles et les voleurs.
6. La chambre du condamné à mort.
7. Un singulier procès criminel.
8. Où mademoiselle Collin entre en scène.
2e partie :
Entre le procureur général et Jacques Collin.
10. Les trois visites de madame Camusot.
11. Un grand personnage destiné à l’oubli.
13. Le crime et la justice en tête à tête.
14. Début de Jacques Collin dans la comédie.
15. Messieurs les Anglais, tirez les premiers.
16. Où Jacques Collin abdique sa royauté de Dab.
La Dernière Incarnation de Vautrin parut la même année (1847, daté 1848) en trois volumes in-8o chez Chlendowski, avec sa division en chapitres, et suivie de : les Martyrs ignorés et une Rue de Paris et son habitant (voir aux Œuvres diverses). Voici les divisions de cette édition :