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11. L’Oaristys, dix-huitième églogue de Théocrite, peu goûtée en cour d’assises.
12. Comme quoi le cabaret est le parlement du peuple.
13. L’usurier des campagnes.

Cette partie, la seule qui ait été publiée du vivant de Balzac, fut suivie, après sa mort, d’une seconde partie qui parut pour la première fois en 1855 dans la Revue de Paris, numéros du 1er et du 15 juin ; elle avait été précédée de la réimpression des feuilletons de la Presse, dans les numéros du 1er et du 15 avril, du 1er et du 15 mai de la même année. Cette seconde partie, qui ne porte pas de titre général, était divisée ainsi, comme aujourd’hui :

1. La première société de Soulanges.
2. Les conspirateurs chez la reine.
3. Le café de la Paix.
4. Le triumvirat de la Ville-aux-Fayes.
5. La victoire sans combat.
6. La forêt et la maison.
7. Le lévrier.
8. Vertus champêtres.
9. La catastrophe.
10. Le triomphe des vaincus.

L’ouvrage[1], ainsi complété, parut pour la première fois, en cinq volumes in-8o, chez de Potter en 1855 ; il était suivi du Traité des Excitants et du Voyage à Java (voir aux Œuvres diverses). La même année, il entra dans le deuxième volume complémentaire de la Comédie humaine (tome XVIII des Œuvres de Balzac), in-8o, chez madame Houssiaux, tel qu’il est réimprimé dans l’édition définitive.

  1. Le catalogue de la vente Dutacq (in-8o, chez Techener, 1857), parle de cette œuvre (page 74), et indique, mais sans preuves à l’appui, madame de B… comme collaborateur de Balzac pour la seconde partie. Ce catalogue est on ne peut plus intéressant à consulter sur les œuvres de l’auteur de la Comédie humaine ; il a été rédigé par le bibliophile Jacob (M. Paul Lacroix).